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Arielle DOMBASLE : cousine , ses liaisons (généalogiques)

arielle-dombasle

C’est mon jeune cousin Pascal LEVAL qui m’a fait découvrir un cousinage avec cette jolie femme, qui « gère » très bien son âge, en mettant sur sa biographie quelques années de plus à son année de naissance.

Arielle DOMBASLE est née le 27 avril 1953, son vrai nom est SONNERY-COTTET , DOMBASLE étant celui de sa mère.

Qui plus est, elle a des références généalogiques .. cf photo du Point ..

avec Charlemagnearielle-charlem

Mon cousinage avec Arielle :

Elle cousine de la même façon avec Antoine PINAY (1891-1994)

Arielle est une cousine issue de germain

du réalisateur-producteur Bertrand TAVERNIER

Connaissent-ils cette relation ?

Pas sûr. En tout cas , Google n’en fait pas état..

Elle est presque la cousine du Saint Curé d’Ars

La relation généalogique avec l’Abbé Pierre est plus indirecte, je la donne quand même.
On ne sait jamais, en cette période de grand froid et de crise du logement, cela pourrait inciter des visiteurs à faire comme moi,
à  faire un don à la Fondation Abbé Pierre

 

Biographie tirée de « Pure People »

Biographie de Arielle Dombasle

Arielle Laure Maxime Sonnery de Fromental, dite Arielle Dombasle, est née le 27 avril 1953 dans le Connecticut aux États-Unis (même si par coquetterie féminine son site officiel mentionne 1958 comme année de naissance), de Jean-Louis Melchior Sonnery de Fromental, industriel au Mexique et de Françion Garreau-Dombasle. Elle est la muse d’un grand nombre d’artistes et toute sa vie se déroulera comme un roman.
Après le décès de sa mère, à l’âge de 34 ans, Arielle Sonnery emprunte le pseudonyme d’Arielle Dombasle. Elle est élevée au Mexique par son grand-père ambassadeur à la retraite et sa grand-mère, voyageuse fantasque. Après quinze ans de danse classique, de théâtre dans une petite troupe qu’elle a montée elle-même, des études au lycée français de Mexico, à 18 ans, Arielle s’est forgée une personnalité d’artiste trilingue issue de 3 cultures : le français, l’anglais et l’espagnol.
En 1976, Arielle Dombasle arrive à Paris pour suivre des cours de danse, de chant, d’art dramatique et de comédie au Conservatoire international de musique de Paris. En 1978, elle débute au cinéma avec Eric Rohmer dont elle devient l’actrice fétiche. Avec lui, elle tourne Perceval le Gallois, Pauline à la plage, écrit 20 ans plus tôt pour Brigitte Bardot, Beau Mariage, et L’arbre, le maire et la médiathèque. Très vite, d’autres grands cinéastes s’intéressent à elle. Elle devient l’égérie de l’univers baroque de Raoul Ruiz avec lequel elle tourne Le temps retrouvé, Fado, majeur et mineur et Les âmes fortes. Pourtant à partir des années 90, elle brise cette image d’actrice intellectuelle et pour démontrer son sens de l’autodérision, participe à des comédies à succès telles que Un indien dans la ville ou encore Astérix et Obélix contre César.
Arielle Dombasle est aussi une des premières jeunes artistes à passer derrière la caméra. Elle réalise Chassé-croisé en 1982 et Les pyramides bleues en 1988. A la télévision, elle incarne Sissi impératrice rebelle de Jean-Daniel Verhaeghe en 2004 et Milady de Josée Dayan en 2006.
Mais c’est dans le chant qu’Arielle Dombasle démontre toute l’étendue de son talent : quatre de ses albums sont couronnés de succès, trois disque d’or et un double disque de platine. Elle reçoit la Légion d’honneur pour l’ensemble de sa carrière. Depuis février 2007, elle interprète les chansons de Dolores Sugar Rose au Crazy Horse dans des tableaux très sensuels, mis en scène par Molly Molloy, et au théâtre des Franciscains à Béziers, interprète Don Quichotte contre l’Ange Bleu, de Jérome Savary.