Deux cousins alsaciens d’un coup !
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Archives de catégorie : Alsace
François-Ignace de RENDINGER – Merci pour le houblon :
François-Ignace, baron de Rendinger,
introducteur du houblon en France reçut de Louis XVIII des lettres-patentes de naturalisation, le restituant dans tous ses droits et privilèges (Bulletin des lois, Ordonnance du 15 juillet 1820).
Né à Achern le 5 octobre 1775 et décédé à Haguenau le 18 avril 1847. Il était chevalier de la Légion d’Honneur. Introducteur de la culture du houblon en Alsace, ce titre lui a été reconnu par une déclaration de l’Académie Royale d’Agriculture en 1846 et brevet lui en a été remis, cette année-là, le jour de la fête du Roi à Hagueneau.
Sur sa tombe, on inscrivit l’épitaphe suivante :
Cette tombe contient la dépouille mortelle
D’un homme cher aux siens ainsi qu’à son pays
Car il dota nos champs d’une plante nouvelle
Et sut rendre féconds nos terrains appauvris
c’est un cousin par alliance
AGAWE — nouveau site
la liste cg Alsace donne l’adresse du « nouveau site » de l’AGAWE
http://agawe.over-blog.com/article-25812690.html
cela intéressera sans doute les généalogistes de l’Outre Forêt
MATHIS Emile : l’Alsace, berceau de l’automobile ? MATHIS – BUGATTI
Émile Ernest Charles Mathis (15 mars 1880 à Strasbourg – 3 août 1956 à Genève) est une personnalité alsacienne qui a créé la marque de constructeur automobile Mathis.
Fils d’hôtelier (Hôtel de Paris) de Strasbourg, Émile Mathis travaillait à ses débuts pour le groupe De Dietrich en compagnie d’Ettore Bugatti entre 1902 et 1904. Bugatti était chargé de la conception de la voiture De Dietrich et Émile Mathis, lui, était chargé de sa commercialisation. Lorsque De Dietrich les remercia, en 1904, il investit ses économies pour créer la société « Mathis and Co » à Strasbourg et embaucha Ettore Bugatti à ses cotés. En parallèle, il créa une seconde société « EEC Mathis » en vue de devenir distributeur d’automobiles de diverses marques.
Son association avec Ettore Bugatti permit de construire des véhicules Mathis Hermes Simplex de 40, 60, et 90 ch à l’usine de Graffenstaden. En 1907, les associés se séparèrent et Mathis fit construire une vaste usine à Strasbourg afin de développer son activité.
Le rêve américain d’émile MATHIS