Le texte est pour le moins surprenant .. surtout s’il doit être lu au premier degré !
je cite : « Des visages empreints du laid idéal ».
Un de mes cousins – Jean-Claude STREICHER – m’a suggéré de le juxtaposer avec le passage du texte de Victor HUGO : le Rhin , lorsqu’il croise une famille Alsacienne… Merci à Gallica