Un article des DNA met à l’honneur une de mes cousines à l’occasion de la parution de son livre.
Il s’agit de Louise « Pisla » LOEFFLER, déjà connue pour avoir réalisé des films sur les tziganes
Je n’ai pas cherché à savoir si cette famille hongroise avait un lien avec une autre famille hongroise sans doute plus « riche » , les SARKÖZY de NAGY-BOCSA
Mistinguett, de son vrai nom Jeanne Bourgeois,
née à Enghien-les-Bains le 5 avril 1875 et décédée à Bougival le 5 janvier 1956, est une chanteuse et actrice française.
Je l’ai entrée dans la base car elle est très proche d’un cousin célèbre Emile MATHIS, bien connu pour les voitures éponymes
Je remercie d’avance toute personne qui pourra me donner des informations sur l’épouse de Émile Philippe ARBOGAST et mère de Jeanne ARBOGAST
ci dessous ma relation plus lointaine :
Une de mes nouvelles cousines généalogiques s’avère être l’auteur de nombreux livres sur l’Alsace
Marie-Thérèse FISCHER née LAUTH
Je vous laisse découvrir sa production à la Fnac
Nos ancêtres communs : les KRIEGER de Wittersheim
Le livre de mon père, Albert OTT, est sorti:Il raconte son amour de l’Alsace, de la France, dans sa prime jeunesse à Surbourg, Saverne, Thannenkirch, puis les années difficiles en Pologne et en Allemagne. En effet, en octobre 1943, suite à une dénonciation, toute la famille fut transplantée à Breslau (Wroclaw).
Heureusement, quelques mois plus tard, un ami de son père réussit à dévier le chemin tracé par le système hitlérien. Après Breslau, ce fut Rastatt, Fribourg, Unterjoch .. d’autres villes où Albert frôla la mort.
Son frère Georges, également incorporé de force, eut moins de chance et mourut en Pologne en janvier 1945.
A noter, son jeune frère, Claude, a aussi raconté une partie de ses souffrances dans « Je n’étais qu’un enfant ». A l’âge de 13 ans, il a été envoyé creuser des tranchées en Lorraine. Un témoignage de Malgré-Nous.
Une lectrice du livre de mon père écrit :
Ce livre pourrait-il m’ouvrir des portes concernant ma propre histoire ? :
Peut-être reste-t-il quelque survivant qui aurait pu croiser mon père Jean-Hans Geier (né à Truchtersheim en 1908, élevé à Strasbourg) incorporé en Moldavie en 40 (cf. documents Wast), dont on a perdu la trace de son régiment à Husi en Roumanie en 44 et qui a la surprise de tous, libéré des mines de Sel en Sibérie (mais laquelle ou lesquelles, et où ?) est venu mourir en 1948 chez ses parents à Constance des séquelles de son incarcération en Sibérie. Est-il passé par Tambov ? A-t-il fait route vers l’Ukraine ? etc ?
Toute information sera la bienvenue. M’écrire, je transmettrai.
